Partie mi-janvier, elle sillonne la France à travers 50 villes-étapes, afin de débattre d’une autre façon sur la question du nucléaire et de son monde, qui nous est imposée, ainsi que sur la répression violente, policière et judiciaire, subie par le mouvement d’opposition à Cigéo.

Elle dénonce le pseudo débat national pour valider le Plan National de Gestion des Matières et Déchets Radioactifs (PNGMDR), élaboré par le gouvernement et qui se tient d’avril à mi-septembre.

Elle s’arrêtera les 21, 22, 23 et 24 mai à Alès, Uzès, St Geniès de Malgoirès et Remoulins.

Elle viendra à la rencontre d’autres luttes locales, contre l’artificialisation des terres agricoles par un projet de centre commercial à Montaren, un projet de Méga camping à Thoiras ou contre l’implantation d’un site Amazon à Fournès….